En marge du nègre comme l’entendent Aimé Césaire ou toute autre figure marquante du courant de la négritude, j’entends par “nègre”, l’être coupé de sa source culturelle originelle.
Cet être chosifié, risée de ceux qui le pointent du doigt, est souvent perçu comme étant la résultante des rapports du monde noir avec l’occident. La réalité historique montre que le nègre est un pur produit de l’hégémonie Islamique au contact avec les peuplades dites Africaines. Je peux toutefois relever que préalablement à la montée en puissance de l’Islam dans le moyen-orient (l’Afrique de l’Est y compris), le monde occidental aurait une vision plutôt recluse de l’extérieur, de sorte que l’on puisse en déduire une relation centrée sur l’unique géographie eurasiatique(malgré les contacts millénaires des Grecs avec l’Egypte antique).
Cet être chosifié, risée de ceux qui le pointent du doigt, est souvent perçu comme étant la résultante des rapports du monde noir avec l’occident. La réalité historique montre que le nègre est un pur produit de l’hégémonie Islamique au contact avec les peuplades dites Africaines. Je peux toutefois relever que préalablement à la montée en puissance de l’Islam dans le moyen-orient (l’Afrique de l’Est y compris), le monde occidental aurait une vision plutôt recluse de l’extérieur, de sorte que l’on puisse en déduire une relation centrée sur l’unique géographie eurasiatique(malgré les contacts millénaires des Grecs avec l’Egypte antique).
De ce fait, le point décisif qui jettera les bases de ce qui adviendra de l’Homme noir me semble l’hégémonie Islamique sur la région de l’Afrique proche du continent eurasiatique.
Le nègre vu depuis le prisme de la négritude me paraît plus un être qui conscient de son aliénation, s’en départit. Nègre, ici ne sert donc que de substantif pour signifier la réclamation par l’Homme d’une identité, le nègre fondamental, genre: “mes traits dont vous riez, je les ai! Et alors?…je n’en perds pas mon humanité. Bien au contraire…”
Nous parlons donc du nègre vecteur de cette réclamation, du nègre étranger à lui-même parce que produit de quelqu’un d’autre.
La suprématie Arabo-musulmane ayant précédé la traite transatlantique – et non l’occident – a créé ce nègre.
Si ceci doit être pris comme étant un révisionnisme, et bien, qu’il soit un révisionnisme nécessaire.
L’occident n’a pas créé le nègre. Il ne l’a que repris. Ceci me semble plus en adéquation avec la vraie histoire des peuplades rassemblées de nos jours sur le continent dit Africain.
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