La tendance au mal est une aptitude que l’on peut cultiver.
D’abord le sorcier n’est pas négatif. Dans l’aire culturelle Gbè chez les Ewes la sorcellerie maléfique se nomme Eŋon(avec n de ŋotsè comme dans le verbe EWE équivalent à “briser”).
Eŋon est ce que vous appelez “sorcier” en Afrique. Mais le vocable “sorcier” est occidental. Toute la confusion réside là. Les occidentaux ne cernent pas nos cultures. Leurs vocables ne peuvent pas fidèlement désigner nos faits.
Bien sûr, Eŋon est compétent dans son domaine qui est l’énergie basse. Il n’est pas dans le constructif.
Ne mélangez pas la force d’Eŋon à la sorcellerie qui devrait équivaloir à une haute connaissance et qui est toujours constructive dans l’aire culturelle Gbè(Peuples de l’Ouest du Cameroun jusqu’au Libéria).
Lorsque les gens diront à l’avenir que les religiosités Africaines ne favorisent pas le progrès, expliquez leur d’abord l’amalgame autour des notions comme la sorcellerie. On se souvient de comment l’église à ses glorieuses heures s’était débarrassée de la sorcellerie en atténuant le pouvoir de la Femme. Cela en dit long sur l’usage de ce mot “sorcellerie” pour désigner les énergies sombres en Afrique.
D’abord le sorcier n’est pas négatif. Dans l’aire culturelle Gbè chez les Ewes la sorcellerie maléfique se nomme Eŋon(avec n de ŋotsè comme dans le verbe EWE équivalent à “briser”).
Eŋon est ce que vous appelez “sorcier” en Afrique. Mais le vocable “sorcier” est occidental. Toute la confusion réside là. Les occidentaux ne cernent pas nos cultures. Leurs vocables ne peuvent pas fidèlement désigner nos faits.
Bien sûr, Eŋon est compétent dans son domaine qui est l’énergie basse. Il n’est pas dans le constructif.
Ne mélangez pas la force d’Eŋon à la sorcellerie qui devrait équivaloir à une haute connaissance et qui est toujours constructive dans l’aire culturelle Gbè(Peuples de l’Ouest du Cameroun jusqu’au Libéria).
Lorsque les gens diront à l’avenir que les religiosités Africaines ne favorisent pas le progrès, expliquez leur d’abord l’amalgame autour des notions comme la sorcellerie. On se souvient de comment l’église à ses glorieuses heures s’était débarrassée de la sorcellerie en atténuant le pouvoir de la Femme. Cela en dit long sur l’usage de ce mot “sorcellerie” pour désigner les énergies sombres en Afrique.
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